Le Spidol, un endroit historique en plein centre d’Echternach, situé à peine 350 mètres de l’accueillante place de marché. Malgré sa situation centrale, la maison est une sorte d’oasis paisible dans un parc de verdure. Qui vit ici, trouve tout ce qu’il désire pour vivre une vie sans contraintes.

Le Spidol tel qu’il existe aujourd’hui fut construit en 1909 et fut complètement restauré dans les années 1990. La restauration s’est faite sous la tutelle de ‘Sites et Monuments ‘. En plus, un jardin d’hiver  avec foyer à larges vitres et un grand balcon furent ajoutés . Ainsi le bâtiment est inondé de lumière et offre une vue généreuse sur les arbres majestueux du parc.

Notre maison est caractérisée par son architecture impressionnante, son équipement d’intérieur moderne et de son jardin d’hiver inondé de lumière.

De la cave aux combles tous les étages et chambres sont accessibles par ascenseurs et rampes sans aucune barrière.

 

Notre grand parc s’étend sur une superficie d’à peu près 1 hectare. Un réseau de chemins pourvus de banc pour se reposer permet de faire de petites promenades.

La place ombragée qui entoure la fontaine est un lieu de repos priviligié pour patients et visiteurs.

Aux confins du parc se trouve également un lieu de recueillement où des plaques commémoratives perpétuent le souvenir de nos
patients décédés.

Notre nouvelle piste de pétanque avec bar à cocktails offre une activité physique accompagnée de boissons raffraîchissantes à nos habitants.

Le Spidol était géré autrefois par des religieuses. La chapelle date encore de ce passé. Lors de la restauration de l’hôpital vers la fin des années 90, on a renouvelé le plancher, refait les peintures et ajouté des chaises modernes.

La chapelle est un lieu de paix et de méditation. Patients et visiteurs peuvent se retirer ici pour prier ou participer à la messe qui est dite une fois par semaine ainsi qu’à l’occasion des fêtes religieuses. Maints patients s’y retirent chaque jour pour jouir du paisible silence.

Les vitraux polychromes out été créés par l'artiste epternacien François Gillen-